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samba sognane et sa cousine
22/02/2009 00:44
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samba sognane
22/02/2009 00:42
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el hadji omar tall
21/02/2009 23:56
El Hadj Oumar Tall (Umar al-Fûtî ou Omar Seydou Tall) est un conquérant et souverain Toucouleur, né à Halwar, près de Podor, dans le Fouta-Toro (dans l’actuel Sénégal) en 1797 et décédé à Deguembéré (près de Bandiagara, actuel Mali) en 1864. Il est le fondateur de l'Empire toucouleur.
Né en 1797 à Halwar près de Podor, il a commencé à approfondir sa connaissance de l’islam grâce à Abd el-Karim, un lettré musulman originaire du Fouta-Djalon, membre de la confrérie Tidjaniya. À partir de 1827 et pendant dix-huit ans, Omar Seydou tall entreprend plusieurs voyages. Il se rend à Hamdallaye sur le Niger où il rencontre Amadou Cheikhou, puis séjourne plusieurs mois à Sokoto à la cour de Mohammed Bello. Il traverse ensuite le Fezzan et se rend au Caire avant d’atteindre La Mecque où il reçoit les titres d’El Hadj et de Calife de la confrérie soufi Tidjane pour le Soudan (1828). Il séjourne ensuite à l’Université al-Azhar du Caire, puis chez le sultan du Bornou dont il épouse une fille, à la cour de Mohammed Bello dont il épouse également une fille, enfin à Hamdallaye chez Amadou Cheikhou, qui cette fois-ci l’accueille beaucoup moins favorablement. Puis il est emprisonné par le roi animiste bambara de Ségou. Lorsqu’il est relâché, il se rend dans le Fouta-Djalon où l’almami l’autorise à créer une zaouïa (1841). Pendant treize ans, il prêche la doctrine de la Tidjaniya d’abord au Fouta-Djalon, puis à Dinguiraye (actuelle Guinée) en 1848
A Dinguiraye, il prépare le djihad (guerre sainte). Il acquiert une réputation de saint et rassemble de nombreux disciples qui formeront les cadres de son armée. Son armée, équipée d’armes légères européennes reçues de trafiquants britanniques de Sierra Leone, s’attaque à plusieurs régions malinkées à partir de 1850. Il occupe sans difficulté les territoires du Mandingue et du Bambouk (1853), puis attaque les Bambaras Massassi dont il prend la capitale Nioro (1854). En 1856, il annexe le royaume bambara du Kaarta et réprime sévèrement les révoltes.
Luttant contre l’armée coloniale française, il fait construire un tata (une fortification) à Koniakary (77 Km à l'ouest de Kayes). En avril 1857, il déclare la guerre contre le royaume du Khasso et assiège le fort de Médine, qui sera libéré par les troupes de Louis Faidherbe le 18 juillet 1857.
Entre 1858 et 1861, El Hadj Oumar Tall s’attaque aux royaumes bambaras de Kaarta et de Ségou. Le 10 mars 1861, il conquiert Ségou qu’il confie un an plus tard à son fils Ahmadou pour partir à la conquête d’Hamdallaye, capitale de l’Empire peul du Macina qui tombera le 16 mars 1862 après trois batailles faisant plus de 70 000 morts. Obligé de se réfugier dans les grottes de Deguembéré, près de Bandiagara, il disparait dans une grotte le 12 février 1864. Son neveu Tidiani Tall sera son successeur et installera la capitale de l’Empire Toucouleur à Bandiagara. Son fils Ahmadou Tall règne à Ségou, jusqu’à l’occupation française en 1893[1].
Mû par l’idéologie universaliste de l’islam et par un projet de rénovation égalitaire de la société, El Hadj Oumar encourage le libéralisme de la confrérie Tidjaniya, dont il est le représentant, et se promet d’imposer une « fraternité transcendante » aux peuples du Soudan occidental.
El Hadj Oumar gouverne ses États comme une théocratie, assisté par un conseil comprenant quelques grands marabouts, certains de ses frères et des compagnons de pèlerinage. La loi coranique est le principe fondamental du gouvernement. Sur le plan administratif, El Hadj Oumar s’inspire du modèle égypto-turc avec la division du pouvoir en en un gouverneur civil (pacha) et un gouverneur militaire (bey). Chaque province dispose d’une puissante forteresse (tata) commandée par un chef militaire dirigeant une importante garnison.
El Hadj Oumar est aussi un personnage de légende, dont s'empara l'imagination populaire : plusieurs récits merveilleux circulèrent et circulent encore à son sujet. Au Sénégal, El Hadj Oumar Tall est perçu comme un résistant, au Mali, d'après David Robinson il serait vécu comme l'envahisseur qui fit le lit de la conquête européenne. En tout cas sa mémoire reste vive en milieu haalpular (nord du Sénégal) où porter le nom de Tall reste prestigieux, surtout si l'on peut se dire son descendant.
Source : fr.wikipedia.org/.../://fr.wikipedia.org/wiki/Oumar_Tall
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makki sal
20/02/2009 16:00
makki sal wiino ko jahoowo kono to fuuta.o huninooma dum ndewo arri doo e leydi france.ko wiino ko.o jaggi konngol makko.nam ko jahoowo fuuta nyande 28 lewru fevrier.o adortoo ko podor.ko badoowo balde jeegom.ngam hollude fuutankoobe darnde makko.e anniya makko.
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Reconnaissance de la qualité d'apatride
20/02/2009 02:38
Reconnaissance de la qualité d'apatride
La personne, que l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) reconnaît comme apatride, est placée sous sa protection administrative et juridique.
L'Office est notamment habilité à lui délivrer les pièces nécessaires pour lui permettre d'exécuter les divers actes de la vie civile.
L'intéressé reçoit, par ailleurs, une carte de séjour temporaire portant la mention "vie privée et familiale" d'une durée de validité d'1 an .
Il doit en faire la demande à la préfecture de son lieu de résidence.
Cette carte l'autorise à exercer la profession de son choix et est renouvelable.
Lorsqu'il justifie de 3 années de résidence en France sous couvert de cette carte, l'apatride statutaire bénéficie de plein droit d'une carte de résident valable 10 ans .
Refus de la demande d'apatridie
L'étranger, dont la demande de statut d'apatride est refusée par l'Office français de protection des réfugiés et apatrides, peut contester ce refus devant le tribunal administratif de son lieu de résidence.
Ce recours doit être formé, dans un délai de 2 mois, à compter de la notification de la décision de l'OFPRA.
Le jugement du tribunal administratif est susceptible d'appel devant la Cour administrative d'appel (territorialement compétente). Un pourvoi en cassation devant le Conseil d'Etat est également ouvert à l'étranger, si l'arrêt de la Cour d'appel confirme le jugement du tribunal administratif.
Attention : ces recours ne sont pas suspensifs, c'est à dire que la personne peut faire l'objet d'une mesure d'éloignement avant que le juge n'ait statué.
© La Documentation française
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Adresses nationales
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Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA)
201, rue Carnot
94136 Fontenay-sous-Bois cedex
Téléphone : 01 58 68 13 00
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Conseil d'Etat
1, place du Palais-Royal
75100 Paris cedex 01
Téléphone : 01 40 20 80 80
01 40 20 80 50 (bureau de l'information publique)
01 40 20 81 00 (greffe)
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Dernière mise à jour le 5 décembre 2008
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Cour administrative d'appel de Nantes - Service Accueil
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